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Jean-Pierre Perreault

Recteur

Je veux conduire l'UdeS de manière collégiale, malgré les vents de face que nous connaissons présentement, et les transformer en élan pour notre grande université HUMAINE.

Professeur Jean-Pierre Perreault

En 2030, j'aimerais que l'UdeS...

…soit reconnue pour l'expérience étudiante qu'elle offre, pour la qualité de ses programmes et ses innovations pédagogiques, et parce qu'elle est à l'avant-garde dans le milieu de la recherche pour ses découvertes et ses contributions majeures dans de nombreuses disciplines.  

Plus que jamais, l'UdeS devrait être verte et pertinente pour la société et ses partenaires, une université apprenante où il fait bon étudier et travailler. Une université fermement engagée dans l'action climatique et le vivre ensemble.

Mes priorités en tant que recteur

En enseignement, je veux qu'on fasse évoluer nos programmes de manière à mieux répondre à la transformation du marché du travail, en raison par exemple de l'avènement de l'intelligence artificielle ou des besoins d'une société en pleine mutation.  

En recherche, j'aimerais qu'on intensifie et appuie mieux nos activités dans toutes les disciplines et qu'on identifie ensemble des programmations dans le but de répondre aux grands enjeux de société.

En gestion, nous devrons travailler à l'amélioration de nos processus opérationnels afin qu'elle soit un vecteur d'innovation dans tous les secteurs, favorisant une meilleure fluidité des actions entre les différents services et composantes.  

Dans les communautés où l'UdeS est implantée, mon objectif est qu'elle soit considérée comme partenaire de choix, car elle est un moteur de développement économique, social et culturel pour son écosystème.

En bref, je veux que l'expérience étudiante soit excellente et que le travail à l'UdeS soit stimulant! 

À propos de Jean-Pierre Perreault

Titulaire d'un doctorat en biochimie de l'Université de Montréal, le professeur Jean-Pierre Perreault a poursuivi une formation postdoctorale à l'Université de Yale avant d'intégrer la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke en 1993, à titre de professeur en biochimie. Entre 2004 et 2017, il a été successivement directeur du Département de biochimie, doyen associé au développement de la Faculté et vice-doyen à la recherche et aux études supérieures. Vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de 2017 à 2025, il a notamment contribué à ce que l'UdeS se hisse à la 10e place au Canada pour les revenus de recherche.

Le professeur Perreault a été partie prenante de la concrétisation de plusieurs projets majeurs, dont la création d'un programme de bourses nominatives aux études supérieures soutenu par un fonds capitalisé de plus de 25 millions de dollars, l'implication dans la Stratégie nationale quantique ou encore le financement du Pavillon de santé de précision et de recherche translationnelle et de la Bibliothèque du Campus de la santé de l'UdeS.

À titre de chercheur en biochimie de l'ARN, il a produit près de 900 communications scientifiques. Il a détenu la Chaire de recherche du Canada en génomique et ARN catalytique de 2005 à 2012 et il est titulaire de la Chaire de recherche de l'UdeS en structure et génomique de l'ARN. Il a piloté le développement de nouvelles applications en inactivation génique à partir des découvertes fondamentales de son laboratoire. Jean-Pierre Perreault a été le directeur fondateur du Centre d'excellence de recherche de la biologie de l'ARN (1999-2009) et l'un des cofondateurs du RiboClub, un regroupement canadien de chercheuses et chercheurs ayant un intérêt pour l'étude de l'ARN.

Il a représenté l'UdeS sur de nombreuses tribunes et auprès d'organismes québécois, canadiens et internationaux. Il a notamment été président fondateur de la Société canadienne pour les biosciences moléculaires (2010-2011), président de l'Acfas (2021-2024), et membre des conseils d'administration du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), de l'Accélérateur de création d'entreprises technologiques (ACET), du Centre d'expertise en santé de Sherbrooke (CESS), du Fonds de recherche du Québec (FRQ) et de l'Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique (OBVIA).